Lendemain de Bêt
Après la mise au verre (GrichkaTM), une mise aux points (et non aux poings comme l’aurait souhaité Tarzan) : 3 de plus dans notre course au titre, et contre un adversaire direct. On peut partir en vacances tranquilles. Evidemment, et pour le plus grand plaisir de votre serviteur, un match de la Bêt ne se résume pas à un simple bilan comptable, malgré tous les efforts de nos deux tirelires (ces cochons de Fanch et Big Mat).
Ce dernier opus était un véritable conte de Noël.
Une belle distribution de cadeaux en première mi-temps : des ballons qui volent dans le ciel, des offrandes au goal adverse, une défense trop accueillante qui laisse la porte ouverte au pivot, un goal très croyant qui laisse une étoile filante atterrir dans ses filets… A la mi-temps, ça sent le sapin. La Bêt reprend ensuite un peu les rênes du match. Les arbitres ont bien essayé de jouer les pères fouettards mais au final, la bûche est pour les Accentures, qui paraissaient bien lutins devant le coup de patte du Grinch. C’est le compteur qui décide de la fin de l’histoire.
Plus que jamais, « le Handball se joue à 7 et, à la fin, c'est la Bêt qui gagne » sans oublier un Happy end en forme d’orchidée.
Bonne nuit mes petits.
Compte rendu type La Cuisine des Mousquetaires :
Fanch & Seby : nos deux dindes ont bien défendu leur cage. Ils n’ont pas fait les bulots mais bien le boulot. Plus Buffon que bouffons, donc.
Grichka : il y avait autant de place dans la cage adverse pour son but miraculeux que dans la cheminée de Nono pour le cul de Fanch… Mais chut ! Notre Chabal croit encore au père Noël…
Polo : il attend toujours la passe du Grinch… Mais lui ne croit pas aux miracles. Papa sait combien a coûté ce conte de Noël. Merci président. André pourra s’acheter de nouvelles lunettes à Noël.
Mat : il avait fait sa commande au père Noël : il a reçu ses 3 petits buts et offert quelques casquettes à son adversaire.
Fred : il a garni de caviar les chaussettes de ses partenaires.
Tarz : le père Noël est une ordure, évidemment, avec son carton rouge (comme la trace laissée par la claque du boucher d’en face). Maman est fatiguée…
Raph : sa patte de chat a su tirer les marrons du feu…
Fab : toujours les copains d’abord. Il sert les plats, fait la vaisselle… Il faut vraiment l’inviter.
Papy : il n’a pas apprécié d’être réveillé de si bonne heure. Grognon, il s’est roulé par terre à de nombreuses reprises… Dédé n’était pas loin de te mettre une fessée mon grand.
Rava : un peu fatigué d’avoir joué les lièvres dans de nombreuses soirées parisiennes, il a bien démarré mais a fini sa partie en haut-parleur. Sans voix mais avec la plume, c’est un vrai héraut.
Duss : il est heureux de vous communiquer sa nouvelle adresse : « 10 Avenue Trudaine – 75009. Code porte: XXXXX, puis interphone (Dusaintpere dans le civil...) 2ème face ».
Nono : un grand merci à ce resto du cœur.
Compte-rendu de Roland (entretien réalisé par téléphone):
Roland, peut-on gagner un match sans jamais mener au score ?
T’as pas bu que de l’eau, mon gars…
Mais, toi, tu as déjà gagné à la dernière seconde ?
Je me suis arrêté en quatrième CPPN.
Roland, la 3ème mi-temps peut-elle avoir lieu avant la 1ère ?
T’es encore bourré, Rava…
Justement, toi, as-tu déjà joué à 3 grammes ?
C’était plutôt 100 kg mon poids de forme…
Ce que je veux te dire, c’est que, comme d’habitude, on a fait la fête la veille…
Attention Rava, il faut respecter les seniors…
Roland, tu comprends rien, t’es lourd…
Près de 120 Kg depuis que j’ai arrêté !
Bipbipbip
Rava, comment t’arrives à faire ces petits bruits avec ta bouche ?… (13 minutes plus tard, source France Télécom) … Grava, arrête, t’es con, j’vais être en retard…
Prochaines étapes :
mercredi à 20h pour refaire le match.