Le blog de la BET

18 décembre 2006

Lendemain de Bêt

Le résumé : La Bêt écrase Accenture d’un but à 2 secondes de la fin

Après la mise au verre (GrichkaTM), une mise aux points (et non aux poings comme l’aurait souhaité Tarzan) : 3 de plus dans notre course au titre, et contre un adversaire direct. On peut partir en vacances tranquilles. Evidemment, et pour le plus grand plaisir de votre serviteur, un match de la Bêt ne se résume pas à un simple bilan comptable, malgré tous les efforts de nos deux tirelires (ces cochons de Fanch et Big Mat).

Ce dernier opus était un véritable conte de Noël.

Une belle distribution de cadeaux en première mi-temps : des ballons qui volent dans le ciel, des offrandes au goal adverse, une défense trop accueillante qui laisse la porte ouverte au pivot, un goal très croyant qui laisse une étoile filante atterrir dans ses filets… A la mi-temps, ça sent le sapin. La Bêt reprend ensuite un peu les rênes du match. Les arbitres ont bien essayé de jouer les pères fouettards mais au final, la bûche est pour les Accentures, qui paraissaient bien lutins devant le coup de patte du Grinch. C’est le compteur qui décide de la fin de l’histoire.

Plus que jamais, « le Handball se joue à 7 et, à la fin, c'est la Bêt qui gagne » sans oublier un Happy end en forme d’orchidée.

Bonne nuit mes petits.


Compte rendu type La Cuisine des Mousquetaires :

Fanch & Seby : nos deux dindes ont bien défendu leur cage. Ils n’ont pas fait les bulots mais bien le boulot. Plus Buffon que bouffons, donc.

Grichka : il y avait autant de place dans la cage adverse pour son but miraculeux que dans la cheminée de Nono pour le cul de Fanch… Mais chut ! Notre Chabal croit encore au père Noël…

Polo : il attend toujours la passe du Grinch… Mais lui ne croit pas aux miracles. Papa sait combien a coûté ce conte de Noël. Merci président. André pourra s’acheter de nouvelles lunettes à Noël.

Mat : il avait fait sa commande au père Noël : il a reçu ses 3 petits buts et offert quelques casquettes à son adversaire.

Fred : il a garni de caviar les chaussettes de ses partenaires.

Tarz : le père Noël est une ordure, évidemment, avec son carton rouge (comme la trace laissée par la claque du boucher d’en face). Maman est fatiguée…

Raph : sa patte de chat a su tirer les marrons du feu…

Fab : toujours les copains d’abord. Il sert les plats, fait la vaisselle… Il faut vraiment l’inviter.

Papy : il n’a pas apprécié d’être réveillé de si bonne heure. Grognon, il s’est roulé par terre à de nombreuses reprises… Dédé n’était pas loin de te mettre une fessée mon grand.

Rava : un peu fatigué d’avoir joué les lièvres dans de nombreuses soirées parisiennes, il a bien démarré mais a fini sa partie en haut-parleur. Sans voix mais avec la plume, c’est un vrai héraut.

Duss : il est heureux de vous communiquer sa nouvelle adresse : « 10 Avenue Trudaine – 75009. Code porte: XXXXX, puis interphone (Dusaintpere dans le civil...) 2ème face ».

Nono : un grand merci à ce resto du cœur.


Compte-rendu de Roland (entretien réalisé par téléphone):

  • Roland, peut-on gagner un match sans jamais mener au score ?

  • T’as pas bu que de l’eau, mon gars…

  • Mais, toi, tu as déjà gagné à la dernière seconde ?

  • Je me suis arrêté en quatrième CPPN.

  • Roland, la 3ème mi-temps peut-elle avoir lieu avant la 1ère ?

  • T’es encore bourré, Rava…

  • Justement, toi, as-tu déjà joué à 3 grammes ?

  • C’était plutôt 100 kg mon poids de forme…

  • Ce que je veux te dire, c’est que, comme d’habitude, on a fait la fête la veille…

  • Attention Rava, il faut respecter les seniors…

  • Roland, tu comprends rien, t’es lourd…

  • Près de 120 Kg depuis que j’ai arrêté !

  • Bipbipbip

  • Rava, comment t’arrives à faire ces petits bruits avec ta bouche ?… (13 minutes plus tard, source France Télécom) … Grava, arrête, t’es con, j’vais être en retard…


Prochaines étapes :

mercredi à 20h pour refaire le match.


13 décembre 2006

BêT S.A. s’impose face à International Business Machines Corporation

Une fois de plus, la BêT démontre sa capacité à être compétitif sur l’échiquier sportif mondial. BêT S.A. remporte une victoire triomphante face à IBM, le mastodonte, par 29 buts à 11.

Big Mat : nous avait habitués à marquer 4 buts par match, il s’est arrêté à 3 cette fois-ci (d’après nos calculs…).

Rava : l’aile gauche caviar…

Fab : aussi à l’aise et efficace avec une boule qu’avec les deux…

Fanch : a percé les oreilles du malheureux tireur adverse de pénalty après l’avoir mis en échec et tatoué la fesse de Madonna sous la douche.

Fred : a monté un mûr en défense et dégainé quelques parpaings à 6m en attaque.

Tarz : a bavé, aboyé et grogné mais n’a mordu personne.

Grich : a profité de son corps de Beach Boy pour surfer sur la vague du succès. A noter, un petit cri, mais pas d’engueulade.

Igor : On croyait Yvon le Roux à la retraite… il joue encore au Hand…

Raf : Souhaitons qu’il soit recruté par Sego comme colleur d’affiche pour les prochaines élections.

Polo : en convalescence mais s’est invité sur la feuille de match en lieu et place d’une secrétaire en CDI, syndiquée, invirable et toujours aussi efficace dans sa gestion administrative


La Rumeur...
Après avoir que le Ballon de Plomb 2006 lui ait été décerné, le sprinteur Bernard Mendy serait proche de l’équipe de la BêT pour un transfert lors du prochain mercato.

07 décembre 2006

Qui se cache derrière...

Il s'agissait bien de Polo!

Bravo donc à Fred!

Les 300

Pour faire suite à notre discussion d'hier dans les vestiaires sur les 40 000 hooligans du PSG, voici 2 petits spots de la Licra pas mal du tout.

Pour les voir, cliquez ICI!

06 décembre 2006

Parce que Mercredi c'est la veille de Jeudi...

05 décembre 2006

La BET au carré

Le résumé : BET² bat BNP 2 39-20


Une Bêt en grande forme. Sur la lancée de sa victoire sur le grand frère BNP 1, elle n’a fait qu’une bouchée de BNP 2. Une victoire linéaire. Le mouvement était continu, le mouvement continue : il doit devenir perpétuel !


Evidemment, certains esprits chagrins diront qu’un (certain) relâchement (certain) en fin de partie n’était pas nécessaire ; les esprits câlins souligneront qu’il n’y a pas de mal à se faire plaisir en tentant le diable du handball sur ce genre de partie. Evidemment, certains esprits chagrins se remémoreront la rocambolesque engueulade qui a vu Madonna faire une pause en backstage et Super Nounou prendre un rouge ; les esprits câlins rappelleront que le carton était une farce pifesque et que seules les cacahuètes ont pleuré à l’Orchidée.


Pour rappel, nos devises, auxquelles nous avons bien été fidèles :

« La Bêt, c’est l’esprit d’équipe. Dans l’équipe, il n’y a qu’un esprit alors ils partagent. »

« Le Handball se joue à 7 et, à la fin, c'est la Bêt qui gagne. »



Compte rendu « au carré » type L’Ecole des Fans :


Fanch & Seby : 16

Les chiennes de garde. Ni goals, ni soumises, nos deux roses n’ont pas été loin de sentir très bons.


Igor & Grishka : 16

Les frères pétards. Maman est fatigué les garçons. Si vous n’arrêtez pas de vous disputer, c’est papa Fanch qui donnera la fessée…


Polo & Mat : 16

Arthur & Andersen. Ils ont réglé leurs comptes : Mat remplit sa fiche de statistique avec application et Polo encaisse 70 euros sous la table.


Fred & Tarz : 16

Gomez & Tavarès. Le coriace et la racaille ne font pas le ménage qu’à Marseille. Ces magouilleurs n'hésitent jamais à passer outre la loi pour arrêter les adversaires : « Durs sur l’homme et sur la merguez » crient-ils d’une voix fluette à l’accent chantant...


Rava & Cannavaro : 16

Dolce & Gabbana Jewels. Clinc clinc clinc…



Lu dans Le Parisien :

« La ligue Pifo menacée par le hooliganisme ? »

« 2 hooligans du PSG (abonnés de la tristement célèbre tribune Boulogne) auraient infiltré la Bet. On comprendrait alors pourquoi Police a déclaré forfait. Le recrutement de Reida, signe d’ouverture de la part des dirigeants Bestiaux, politique de quotas déguisée, serait-elle un alibi ? Ce week-end des cris de singe ont bien été échangés… Mais entre nos deux Boulogne Boys ! "Pas de danger, confie un cadre du vestiaire qui a voulu garder l’anonymat, ces deux bestiaux ne maîtrisent pas le kung-fu !" A suivre. »


Prochaines étapes :

mercredi à 20h pour refaire le match.

03 décembre 2006

Ce qu'il nous reste encore à améliorer...

Des questions subsistent encore sur les raisons pour lesquelles je me permets d' hausser le ton au cours des matchs. J'ai pensé qu'en les écrivant, ça serait plus marquant que des paroles à chaud dans le vestiaire !
En préambule, je rappelle que l'objectif pour nous cette année est d'être en haut de l'affiche en fin de saison. Ce qui nous amènera obligatoirement à battre par 2 fois l'équipe de BdF.
Mais pour y parvenir, nous nous devons d'être rigoureux et efficaces, en attaque comme en défense, sur les 2 * 30 mn (n'en déplaise à Rava...). Des matchs réputés plus aisés, comme celui de ce week-end, doivent nous permettre de nous roder, dans ce sens. Or, ce n'est pas le cas !
Ce n'est pas parce que nous avons 10 buts d'avance, que nous devons nous relâcher sur le replacement défensif, sur la qualité des montées de balles, sur la circulation fluide et sur l'efficacité au shoot. On peut tous faire une connerie, mais on se doit de rectifier le tir parce qu'il y a des gars sur le banc (lorsque nous sommes plus de 7 au match) qui n'ont qu'une seule envie, c'est de rentrer à notre place pour jouer. Contre BdF, la moindre erreur se paiera cash, surtout en fin de match.
Sur le match d'hier, lorsqu' après 4 phases offensives nous ne sommes pas capables de marquer un seul but et, en plus, on s'en prend un à cause d'un mauvais placement défensif, alors OUI je hausse le ton.
C'est notre défense qui motive nos chers gardiens. En défendant avec les bras le long du corps et en étant lymphatiques, on ne les met pas dans les meilleurs conditions pour nous sortir des parades décisives.
Notre première mi-temps d'hier était correcte. Nous devons tenir ce niveau et cette qualité de jeu sur la deuxième. Je sais que nous sommes capables d'y parvenir ! Si tout espoir était perdu, je me résignerais et je fermerais ma tronche.

J'ai confiance en nous, en nos qualités, en notre détermination pour aller dans le bon sens.

Sur ce, je vais jouer au golf, ça me détend !


Moi aussi, je vous aime les chattes